20 Notes sur XML vous présente aujourd'hui le WML (Wireless Markup Language).

Le Wireless Markup Language est un langage basé sur le XML pour le WAP. Cela permet ainsi d'etre affiché sur l'écran d'un téléphone portable. De plus sa syntaxe est proche du HTML.

Wireless Markup Language utilise son propre format d'image Wireless Bitmap (WBMP), en noir et blanc pour pouvoir s'afficher sur les telephones portables.

Exemple:

<?xml version="1.0"?> <!doctype wml public "-//wapforum/dtd wml 1.1//en" "http://www.wapforum.org/DTD/wml_1.1.xml"> permet de spécifier le format WML qui comme vous pouvez le remarquez est une spécification du wapforum.

L'élément racine est <wml>.

Ensuite le document est découpé en carte à l'aide de la balise <card></card>.

Ce qui donne comme fichier minimal:

<?xml version="1.0"?>
<!doctype wml public "-//wapforum/dtd wml 1.1//en" "http://www.wapforum.org/DTD/wml_1.1.xml">
<wml>
  <card id="carte">
  </card>
</wml>

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

On peut offrir une navigation plus riche en possibilités en enrichissant les hyperliens. Pour cela on peut utiliser XLink combiné à XPointer en XML.
Ainsi, on peut en autre :

Réaliser des liens qui relient plus de deux ressources, qui sont multi-directionnels et externes aux documents liés.

• Ouvrir un lien dans une nouvelle fenêtre.
• Définir les liens dans un document a part et ainsi séparer le contenu des documents de la navigation.
• Localiser un endroit à l'intérieur d'un document XML, sans avoir recours aux "ancres".

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Aujourd'hui 20 Notes sur XML vous présente eXtensible Application Markup Language, un langage déclaratif développé pour les besoins du nouveau système d'exploitation de Microsoft, Windows Vista.

Basé sur le langage XML, il facilite le travail du développeur et permet d'écrire une application client Windows (ou tout au moins, son interface) aussi aisément qu'une application web. L'idée est en effet de séparer la construction de l'interface utilisateur du code sous-jacent. Le développement de l'interface utilisateur étant confié à des designers, Microsoft propose à ceux-ci le logiciel  Expression Interactive Designer pour manipuler cette interface. XAML inclut également des fonctionnalités pour manipuler des objets en trois dimensions, de manière analogue à X3D.

XAML est également une spécification de développement pour des services web qui tire son nom du protocole XA (Transaction Authority) qui a donné Transaction Authority Markup Language.

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

VoiceXML est un langage de développement ouvert et basé sur des standards de l’industrie pour les solutions vocales. Il est approuvé par le W3C, la même organisation qui définit d’autres standards importants tels le HTML. Un nombre croissant de corporations et de fournisseurs de services à travers le monde utilise VoiceXML pour le service à la clientèle et la production d’applications vocales améliorées.

Une plate-forme VoiceXML est une fondation pour développer et opérer des applications vocales. Elle exécute les commandes dans une logique spécifique écrites en VoiceXML, fournit des capacités de traitements vocaux (ex. : la reconnaissance vocale, la synthèse de la parole et l’authentification vocale), supporte les systèmes de gestion et d’administration et permet la création d’applications nouvelles. Puisque le VoiceXML est basé sur une architecture et des standards Web, une entreprise peut profiter de son investissement et de son expertise en infrastructure Web tout en éliminant les coûts associés aux systèmes conçus avec des technologies fermées et propriétaires.

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

XML définit un système permettant de créer des balises modulaires, c'est-à-dire pouvoir donner la possibilité d'utiliser des balises provenant de différents langages à balise au sein d'un même document grâce à la notion d'espace de noms.

La définition d'un espace de nom permet d'associer toutes les balises d'un langage à un groupe afin d'être capable de mêler différents langages à balise dans un même document XML (être capable de dissocier les éléments de HTML contenus dans le document des balises XML, ou mieux : pouvoir mettre du HTML, MathML, et CML dans un même document).

Fondamentalement il n'y a pas de risques que des balises XML interfèrent avec des balises HTML car ces deux langages ont été mis au point par le même organisme (W3C). Par contre, étant donné que XML est un méta-langage, il permet par définition de définir de nouvelles balises. Ainsi, il se peut que deux organismes mettent au point des langages dont certaines balises portent le même nom, ce qui pose un problème si on désire utiliser des éléments des deux langages au sein d'un même document.

Pour en savoir plus, allez donc jeter un coup d'oeil à la traduction française de la spécification des espaces de nommage par le W3C.

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

SAML (Security assertion markup language) est un standard qui définit un protocole pour échanger des informations liées à la sécurité. Et comme son nom l'indique ce standard est basé sur le format XML.

SAML a été développé par OASIS (Organization for the Advancement of Structured Information Standard) qui est un commité fondé en 1993 pour la normalisation et la standadisation des formats de fichiers.

SAML tente de résoudre le probléme de l'authetification unique sur le web (nommé Single Sign-ON SSO). Ce protocole permet par exemple à l'utilisateur de naviguer sur plus sites différents tout en étant connecté qu'une seule fois.
SAML est supporté par de nombreux SSO pour ce problème de gestion d'identité. Il existe par exemple WS-Federation qui est un outil Microsoft.

SAML 1.0 a été adopté comme norme par OASIS en 2002. Puis SAML 2.0 a été approuvé en Mars 2005. Il s'agit d'une version majeure qui unit SAML 1.0 et ID-FF (Identity Federation-Framework).

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

XSLT (Extensible Style Language Transformations) permet de transformer un document XML en un format plus convivial (PDF, HTML, Excel, etc).
XSLT a deux caractéristiques principales :

• C'est un langage déclaratif et non procédural, il ne spécifie pas le comment (les algorithmes) mais se contente de déclarer le quoi. Par exemple on peut spécifier que les balises <h> du fichier XML soient remplacées dans le HTML cible par des balises <head>.
• Il est lui-même écrit en XML. Ce qui veut dire qu'il pourra être à son tour  transformé par une nouvelle feuille de style XSLT ou qu'il pourra être manipulé par un langage de programmation qui implémente l'interface Document Object Model (DOM).

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

20 Notes sur XML vous présente aujourd'hui une nouvelle version de l'API JAXB crée par Sun.

Java Architecture for XML Binding (JAXB) est une API de Sun permettant de générer des classes Java à partir de schemas (XSD).

La version 2.0 de JAXB supporte désormais l'ensemble des fonctionnalités définies dans XML Schema, ce qui n’avait pas été possible dans la version 1 de JAXB. La version 2.0 ajoute la possibilité d’avoir une correspondance bidirectionnelle. Il est désormais maintenant possible d’avoir une correspondance limitée à un fragment de document XML.

L'orientation future de JAXB est d'explorer les possibilités d'évolution de schémas, tant dans le domaine des applications centrées sur les données (services web) que dans le domaine des applications centrées sur les documents.

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

Pour des données sensibles (financières ou personnelles) transitant sur le réseau, les expéditeurs et destinataires exigent des communications sûres. Même s'il existe déjà des technologies permettant de sécuriser l'ensemble de ces données ou la session de communication dans son ensemble, seules les signatures XML du W3C (XML Signature), utilisées en combinaison avec la nouvelle recommandation XML Encryption, permettent aux utilisateurs de signer et de crypter des parties bien définies de données XML.

Par exemple, l'utilisateur d'un protocole de services Web, tel que SOAP, peut vouloir crypter seulement le corps du message XML, en laissant en clair les informations nécessaires à l'acheminement du message à son destinataire. Autre exemple : une application XForms peut demander à ce qu'une autorisation de paiement soit signée de manière numérique, et que la méthode de paiement, par carte de crédit, soit encryptée. Et bien sûr, XML Encryption peut être utilisée pour sécuriser des données objets intégraux comme un fichier image ou un fichier son.

En définitive, le rôle de XML Signature est de s'assurer de l'intégrité d'un document, c'est à dire de détecter s'il a été modifié et le rôle de XML Encryption est de brouiller des informations.

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

Au vu de l'expansion continue du format XML depuis quelques années déjà, il était facilement concevable que l'on voudrait à un moment ou un autre se servir de ce merveilleux outil afin de pouvoir traiter directement les requêtes ou autres transactions SQL. C'est aujourd'hui chose faite avec la finalisation très prochaine de la spécification u langage XQuery (ou encore XML Query) par le W3C.

Très fortement lié à XPath, XQuery est en quelque sorte aux données XML ce que SQL est aux données relationnelles : un langage pour interroger et manipuler les données d'un document XML. Il se différencie de XPath par sa plus grande richesse fonctionnelle, et de XSLT, plus orienté, lui, vers la transformation de documents.

La particularité de ce langage est le fait que « tout est expression et renvoie une valeur ». Pour plus d'informations, n'hésitez pas à aller consulter l'article de Xaier Borderie, « Présentation de XML Query ».

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

    Une définition de schéma XML (XSD) est fichier de schéma XML écrit à la norme définit dans le  langage XML schéma du W3C. Un XSD définit un type de document de XML en termes de contraintes sur les éléments, les attributs et leur rapport, cela permet ainsi de définir quel types de données peuvent être dans celles-ci.

    Il peut être employé avec le logiciel de validation afin de s'assurer qu'un document XML est de ce type, et produire une validation du schéma.

XSDs ont été les premiers types de schémas XML recommandé par le W3C.

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

OPML (Outline Processor Markup Language) est un format XML permettant de regrouper et d'identifier les hiérarchies d'un texte (titres).

À l'origine il servait de format standard pour la sauvegarde et le partage de données en provenance d'applications où les textes sont regroupés en sections selon une structure hiérarchique en arbre. Il est aujourd'hui utilisé pour partager des listes de flux RSS entre agrégateurs ("rassembleur" et "synthétiseur" d'information).

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

XML-based User interface Language, est un langage de description d'interfaces graphiques basé sur XML.

Une fenêtre XUL est conçue comme un emboîtement de « boîtes » rectangulaires. Une boîte contient des sous-éléments juxtaposés soit verticalement, soit horizontalement. Ces sous-éléments peuvent être des champs de type texte, des listes déroulantes, des champs affichant du code HTML, ... Ces sous-éléments peuvent aussi être des boîtes, qui elles-mêmes contiendront d'autres éléments. Dans chaque boîte, divers paramètres permettent de paramétrer les sous-éléments (à gauche, en haut, ...) ainsi que leur comportement en cas de redimensionnement de la fenêtre (taille fixe, taille proportionnelle...).

L'affichage de tous ces éléments graphiques peut être configuré en utilisant une feuille de style CSS, ce qui facilite l'accès à XUL pour les développeurs Web.

Initialement, XUL a été développé afin de permettre de créer facilement l'interface graphique du navigateur Web Mozilla. Un moteur XUL est intégré au moteur Gecko de Mozilla. Actuellement, Mozilla développe XULRunner, qui permet d'exécuter des applications XUL sans Mozilla ou Firefox.

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML" 

XML est un langage de structuration des données, et non de représentation des données. Ainsi XSL (eXtensible StyleSheet Language) est un langage recommandé par le W3C pour effectuer la représentation des données de documents XML. XSL est lui-même défini avec le formalisme XML, cela signifie qu'une feuille de style XSL est un document XML bien formé.

XSL est un langage permettant de définir des feuilles de style pour les documents XML au même titre que les CSS (Cascading StyleSheets) pour le langage HTML ou bien DSSSL (Document Style Semantics and Specification Language) pour le SGML. XSL est d'ailleurs inspiré de DSSSL dont il reprend beaucoup de fonctionnalités et est compatible avec les CSS (il s'agit d'un sur-ensemble des CSS).

Toutefois, contrairement aux CSS, XSL permet aussi de retraiter un document XML afin d'en modifier totalement sa structure, ce qui permet à partir d'un document XML d'être capable de générer d'autres types de documents (PostScript, HTML, Tex, RTF, ...) ou bien un fichier XML de structure différente.

Ainsi la structuration des données (définie par XML) et leur représentation (définie par un langage tel que XSL) sont séparées. Cela signifie qu'il est possible à partir d'un document XML de créer des documents utilisant différentes représentations (HTML pour créer des pages web, WML pour les mobiles WAP, ...).

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

XHTML, kezako ?

Au départ XHTML 1.0 n’était qu’une simple reformulation de HTML dont le principal but était de réaliser des documents bien formés, c’est-à-dire suivant le concept XML. Par la suite avec la version XHTML 1.1 est apparue la notion de « modularisation », à savoir la division du langage en plusieurs modules chacun regroupant un ensemble de fonctionnalités différentes. Cela permet de rendre le document XHTML bien plus souple et portable, capable d’être interprété par des appareils et/ou navigateurs web très divers (ordinateur de bureau, ordinateur portable, téléphone portable, pal, etc…).

Quel futur pour XHTML ?

Aujourd’hui, XHTML est un format très répandu et surtout très apprécié dans le monde du World Wide Web. Cependant, afin de ne pas risquer de devenir obsolète ou encore avec l’arrivée prochaine du web 2, XHTML se devait de proposer d’évoluer et de proposer des nouveautés. Ce sera chose faite avec la finalisation prochaine d’une spécification W3C de XHTML 2.0. De nombreuses améliorations et nouveautés ont dores et déjà été dévoilées ci et là qui semblent prometteuses. Toutefois il est aussi entendu que XHTML 2.0 ne sera pas rétro-compatible avec XHTML 1.* notamment à cause de l'introduction de XForms et de XFrames. Ainsi de nombreux spécialistes du sujet s’accordent à penser que son essor ne se fera pas aussi rapidement que feu son prédécesseur et qu’il faudra un temps certain avant que XHTML 2.0 ne devienne un outil incontournable aux webmasters comme le fut celui-ci.

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

Environ deux semaines après la promulgation du format OpenDocument au rang de standard, c'est au tour de Microsoft d'annoncer son nouveau format "Office Open XML", pour la prochaine version d'Office.

XML est une technologie pivot des systèmes d'information, du fait de sa portablilité. XML était déjà au coeur de l'échange de message et de service. C'est maintenant au tour des suites bureautiques de se l'approprier. Toutefois OpenOffice avait déjà introduit XML fin 2000, comme format de stockage.
Désormais les formats propriétaires doc, xls et ppt ne seront plus les formats de sauvegarde par défaut dans la nouvelle suite Office 12. Elle adoptera un format plus proche d'OpenDocument(Archive zip contenant plusieurs fichiers distincts).

Techniquement ce nouveau format apporte de nombreux avantages:

• Taille réduite, grâce à la compression.
• Indépendance vis-à-vis de l'application, on pourra éditer le document dans un simple éditeur de texte.
• Robustesse accrue, un fichier corrompu aura donc un moindre impact.

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

XML permet de structurer de l’information dans un document, cependant pour récupérer et analyser ces données encapsulées il est nécessaire d’avoir un outil permettant de parcourir le document pour en extraire les informations contenues. On utilise donc un analyseur syntaxique ou parseur.

On remarque deux types de parseurs XML : les parseurs validant qui vérifient si le document est conforme à la DTD, Définition de Type de Document (c'est à dire la structure du document), et les parseurs non validant qui ne font que vérifier si le document respecte la syntaxe XML.

On distingue également deux approches utilisées par les parseurs XML pour traiter le document :

• Une approche hiérarchique : le parseur crée une structure hiérarchique qui va contenir le document. La principale API utilisant cette approche est DOM (Document Object Model). DOM construit un arbre logique contenant les informations du document. Il est donc nécessaire de parcourir et de mémoriser l'intégralité du document avant de pouvoir effectuer les traitements voulus. Il est alors possible de générer des documents dans un langage de balisage.

• Une approche événementielle où les traitements du document se font à la volée. La principale API utilisant cette approche est SAX (Simple API for XML) qui est utilisée pour des traitements au fur et à mesure (ligne par ligne) de la réception d'un document XML. On ne peut donc pas générer de document avec cette approche.

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

"20 Notes sur XML" vous présente un résumé de l'interview de Robin Berjon, l'éditeur de REX, par Eric van der Vlist.

REX 1.0 est une spécification qui définit une sérialisation XML des évènements décrits par DOM Level 3.

REX 1.0 permet de transmettre des évènements, cela peut permettre par exemple de simuler un clic sur un document distant ou de synchroniser des interactions. Cette première version est limitée aux évènements de mise à jour (mutation events) car il y a aujourd'hui un besoin pressant de la part de l'industrie mobile. Son usage principale est le push de mise à jour à des clients (notamment mobiles).

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

XML (eXtensible Markup Language ou Langage à balises extensible en français) est en quelque sorte un langage HTML amélioré permettant de définir de nouvelles balises. Il s'agit effectivement d'un langage permettant de mettre en forme des documents grâce à des balises (markup).

Contrairement à HTML, qui est à considérer comme un langage défini et figé (avec un nombre de balises limité), XML peut être considéré comme un métalangage permettant de définir d'autres langages, c'est-à-dire définir de nouvelles balises permettant de décrire la présentation d'un texte (Qui n'a jamais désiré une balise qui n'existait pas ?).
La force de XML réside dans sa capacité à pouvoir décrire n'importe quel domaine de données grâce à son extensibilité. Il va permettre de structurer, poser le vocabulaire et la syntaxe des données qu'il va contenir.

En réalité les balises XML décrivent le contenu plutôt que la présentation (contrairement À HTML). Ainsi, XML permet de séparer le contenu de la présentation .. ce qui permet par exemple d'afficher un même document sur des applications ou des périphériques différents sans pour autant nécessiter de créer autant de versions du document que l'on nécessite de représentations !

XML a été mis au point par le XML Working Group sous l'égide du World Wide Web Consortium (W3C) dès 1996. Depuis le 10 février 1998, les spécifications XML 1.0 ont été reconnues comme recommandations par le W3C, ce qui en fait un langage reconnu. (Tous les documents liés à la norme XML sont consultables et téléchargeables sur le site web du W3C, http://www.w3.org/XML/)

XML est un sous ensemble de SGML (Standard Generalized Markup Language), défini par le standard ISO8879 en 1986, utilisé dans le milieu de la Gestion Électronique Documentaire (GED). XML reprend la majeure partie des fonctionnalités de SGML, il s'agit donc d'une simplification de SGML afin de le rendre utilisable sur le web !

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"

Hello world!

Qu'est-ce que "20 notes sur XML" ?
"20 notes sur XML" est un blog qui s'intéresse exclusivement au Standard XML, ainsi qu'à toutes ses évolutions ou dialectes et autres thèmes directement en rapport avec cet outil incontournable du World Wide Web. C'est un blog qui se veut au plus près de l'actualité et des dernières informations quant à l'XML.

Pourquoi ce blog ?
"20 notes sur XML" est un projet mené par cinq élèves de l'EPITA (Ecole Pour l'Informatique Et les Techniques Avancées) dans le cadre d'un cours sur le format XML. La finalité de ce projet est de parvenir à maintenir quotidiennement durant vingt jours ouvrés, tout en se renouvelant et en ayant une véritable approche à la fois technique, pédagogique et ludique, un site d'informations à propos d'un thème informatique bien défini, en l'occurence le standard XML.

Qui sont les administrateurs du blog?
Nous sommes tous les cinq étudiants à l'EPITA, en fin de première année du cycle Ingénieur. Le plus jeune d'entre nous a 20 ans et le plus vieux 23 ans. Nous sommes tous plus ou moins geek dans l'âme (ou du moins le sommes-nous devenus) et nous ne nous sentons libre que lorsque nous codons. Vous trouverez ci-dessous la liste des membres de l'équipe :
    - David, chef de projet
    - Julien Mao (mao_j)
    - Hicham El Kadiri (el-kad_h)
    - Vincent Taront (taront_v)
    - Jérémy Buget (buget_j)

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Cordialement, l'équipe de "20 Notes sur XML"